Au réveil
Le monde est une caresse
Qui nous rend’or
— Pour un long moment
L’après-midi
Dans la féerie de l’automne flamboyant
Nous sommes soudain saisis
— Assis sur le petit banc —
Par le chant des oiseaux
Et le Silence…
La Vie s’invite alors
Dans l’Illumination
De ce pur Instant
Le monde est un trésor
Caressant
Qui s’offre à peu de gens
Le 22 octobre 2020
Journal d’un Libertin-Idyllique (Illuminescences) 2020
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